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Passer à l’atomiseur reconstructible à plusieurs avantages. Le premier est sans aucun doute celui de l’économie, faire soi-même les résistances pour son clearomiseur appelé « atomiseur » dans le cadre du reconstructible, est une économie indéniable. En effet qui dit « reconstructible » dit refaire, reconstruire soi-même, ce qui implique également une manipulation personnelle. Pour se lancer dans les résistances reconstructibles il ne faut pas forcément être très manuel, mais surtout en avoir l’envie et être curieux. De plus, les résistances des atomiseurs reconstructibles permettent d’intensifier la saveur des liquides, et de gérer exactement la densité de vapeur souhaitée, en jouant avec sa valeur en Ohm. Les résistances des atomiseurs reconstructibles sont aussi appelées « coils ». Selon le type de reconstructible utilisé le montage de la résistance va varier. Certains atomiseurs peuvent appelés une seule résistances voire deux ou trois pour avoir une plus grosse production de vapeur.
On peut utiliser, pour faire ses résistances, différents matériaux, différents types de fils résistifs, différents coton. Il est parfois compliqué de faire son choix. Généralement, les atomiseurs reconstructibles accueillent une à deux résistance : mono-coil ou dual-coil. Certains peuvent même en accueillir trois ou quatre, mais avec la venue de nouveaux types de fil tel que le Fused Claptons, faire plus deux résistances devient obsolète. En effet, ce type de câbles ont une capacité de chauffe qui surpasse les montages de l’époque composés de plusieurs coils, car en une résistances sont assemblés plusieurs fils resistifs ensemble. Ces dernières ont donc une plus grande surface de chauffe que les résistances reconstructibles traditionnelles mais nécessité d’utiliser un atomiseur avec un espace nécessaire pour la placer. C’est pourquoi les fabricants innovent sans cesse dans le domaine du reconstructible, et parviennent à créer de l’espace pour y placer des grosses résistances telles que les résistances Fused Claptons. Pourquoi avoir deux résistances pour sa cigarette électronique au lieu d’une seule ? Avec deux résistances, les saveurs et la production de vapeur seront décuplées, mais ce n’est pas forcément ce qui plaira à tous. De plus miser sur deux résistance engendre des conséquences, en effet il sera alors obligatoire d’avoir une boxe avec un minimum de puissance mais surtout d’autonomie de batterie, et une grosse consommation de liquide. C’est pourquoi, il est toujours mieux de démarrer avec une résistance, un mono-coil.
Il est recommandé pour débuter, d’utiliser des coils déjà faits, ils sont souvent fournis avec l’atomiseur reconstructible, et souvent de bonnes factures. Ainsi, débuter devient plus aisé, nous sommes face à un modèle et nous nous sentons plus à l’aise pour le placer sur le plateau du reconstructible. À présent, des artisans proposent des lots de coils selon le type souhaité : micro-alien, fused, fused clapton . Nous remarquons qu’ils ont une bonne durée de vie et un rendu de saveur exemplaire, mais vous serez tout de même amené à en racheter. Alors si vous êtes un grand manuel, et que vous recherchez davantage d’économie, vous pouvez aussi acheter une bobine de fil résistif, générale de 10 mètres de Kanthal A1, de Nichrome 80, de SS 316 Inox, de Clapton, et créer vous-même à partir de ce câble, des spires pour créer la résistance, munis d’un Ohmmètre vous pourrez mesurer la valeur de votre résistance. Plus le câble choisi est épaix, plus la valeur de la résistance va baisser, attention donc à bien choisir votre câble et à bien vérifier sa valeur une fois le coil construit. De plus les résistances de cigarette électroniques faites à base de câbles assez larges comme le Clapton, sont plus difficiles à manier, et une fois posées sur votre plateau, il n’est pas impossible qu’elles fassent un faux contact avec la chambre d’atomisation. Il est donc plus aisé de manipuler, pour démarrer des résistances faites à partir du traditionnel Kanthal A1. Donc pour résumer, beaucoup de possibilités s’ouvrent aux vapoteurs désireux de se lancer dans le reconstructible. L’important est de ne pas se lancer dans des câbles ou des atomiseurs reconstructibles qui semblent trop compliqués et surtout de prendre son temps pendant la manipulation. Il existe de nombreux sites où vous pouvez calculer la valeur de votre résistance. Le chiffre important et le coefficient de chauffe qui indiquera à quelle puissance la résistance de votre cigarette électronique doit-être chauffée uniformément. Pour résumer, les indicateurs de chauffe vous donnent la puissance à laquelle vaper, et ils sont également très utiles si vous voulez monter deux résistances.
Il est recommandé pour débuter, d’utiliser des coils déjà faits, ils sont souvent fournis avec l’atomiseur reconstructible, et souvent de bonnes factures. Ainsi, débuter devient plus aisé, nous sommes face à un modèle et nous nous sentons plus à l’aise pour le placer sur le plateau du reconstructible. À présent, des artisans proposent des lots de coils selon le type souhaité : micro-alien, fused, fused clapton . Nous remarquons qu’ils ont une bonne durée de vie et un rendu de saveur exemplaire, mais vous serez tout de même amené à en racheter. Alors si vous êtes un grand manuel, et que vous recherchez davantage d’économie, vous pouvez aussi acheter une bobine de fil résistif, générale de 10 mètres de Kanthal A1, de Nichrome 80, de SS 316 Inox, de Clapton, et créer vous-même à partir de ce câble, des spires pour créer la résistance, munis d’un Ohmmètre vous pourrez mesurer la valeur de votre résistance. Plus le câble choisi est épaix, plus la valeur de la résistance va baisser, attention donc à bien choisir votre câble et à bien vérifier sa valeur une fois le coil construit. De plus les résistances de cigarette électroniques faites à base de câbles assez larges comme le Clapton, sont plus difficiles à manier, et une fois posées sur votre plateau, il n’est pas impossible qu’elles fassent un faux contact avec la chambre d’atomisation. Il est donc plus aisé de manipuler, pour démarrer des résistances faites à partir du traditionnel Kanthal A1. Donc pour résumer, beaucoup de possibilités s’ouvrent aux vapoteurs désireux de se lancer dans le reconstructible. L’important est de ne pas se lancer dans des câbles ou des atomiseurs reconstructibles qui semblent trop compliqués et surtout de prendre son temps pendant la manipulation. Il existe de nombreux sites où vous pouvez calculer la valeur de votre résistance. Le chiffre important et le coefficient de chauffe qui indiquera à quelle puissance la résistance de votre cigarette électronique doit-être chauffée uniformément. Pour résumer, les indicateurs de chauffe vous donnent la puissance à laquelle vaper, et ils sont également très utiles si vous voulez monter deux résistances.
La résistance d’un recontructible passe par la création des spires, comme nous venons de le voir, mais également par l’histoire du coton. Le coton a bien son mot à dire dans les atomiseurs reconstructibles et pas des moindres. Il n’est pas question d’utiliser un petit coton logé dans les méandres de sa salle de bain, mais bien un coton adéquat à sa résistance. Que recherchons-nous d’un coton? Déjà une bonne manipulation, le première coton utilisé dans la vape le coton cadré écu, était difficilement manipulable et c’est pourquoi il a été rapidement mis de côté. C’est pourquoi sont apparus dans le monde du reconstructible deux cotons : le « Cotton Bacon » et le « coton » de Fiber Freaks. Le coton Bacon venu tout droit des États-unis est facilement manipulable et offre un goût après un amorçage nécessaire, un rendu de saveur qui plaît à un grand nombre de vapoteurs. À ses côtés, trône la Fiber Freaks, cette dernière est composée de fibre de cellulose, elle vient cette fois-ci de France, et peut se présenter soit en un gros nuage, soit en bandelettes pré-découpées. Comparé au Cotton bacon, selon certains consommateurs, le goût initial n’est pas entravé par un léger goût de coton, mais ce n’est qu’une affaire de goût et les avis divergent. Par contre son utilisation est un peu plus compliquée que pour celle du Cotton Bacon, il tend à rester collé aux doigts. Fiber Freaks, a dû malheureusement fermer boutique pour des raisons économiques, nous invitons donc à se diriger vers le « Cotton Bacon ».
Avant de manipuler votre coton, évitez de vous laver les mains ou de vous les asperger de produits alcoolisés, car le coton absorbera ces derniers. Le coton est le pièce maîtresse de votre résistance et de votre cigarette électronique, dernière étape du reconstructible, il ne faut cependant pas la négliger. La petite astuce est de découper une bandelette d’environ deux centimètres de diamètre et dix centimètres de longueur et de la manipuler de sorte que le coton respire. Une fois dans la résistance, amorcez bien le coton avant son utilisation, imbibez-le abondamment de liquide. Le coton est en général à changer tous les 5 jours. Si jamais vous changez de liquide, qui se trouve aux antipodes du liquide précédent, nous vous invitons à le changer, ou bien à être patient le temps de quelques lattes, avant de voir apparaître votre nouvelle saveur.
si vous voulez réaliser intégralement votre résistance et ne pas passer par la case résistances reconstructibles pré-faites. Cherchez une pince coupante, un tournevis, généralement fournis avec le réservoir, une paire de ciseaux assez fins et assez coupants, il faudra découper la fibre de coton, et un builder à partir duquel vous créerez les spires de votre résistance, il sert à donner le gabarit de la résistance de votre cigarette électronique.
prenez votre câble résistif que vous aurez choisi au préalable, présenté soit en rouleau, soit en bobine. Découpez un morceau de votre fil résistif, assez long environ 15cm, prenez d’une main votre builder, déterminez quel diamètre vous souhaitez utiliser, et enroulez le câble dessus, en tenant le début du fil par le pouce. Selon vos calculs faits au préalable, vous réaliserez en moyenne 5 à 7 tours sur un diamètre de 2,5 mm à 3,5 mm.
il faut déposer cette partie de la résistance sur le plateau, une installation plutôt simple. Il faut alors analyser les pôles de votre plateau, un pôle positif et un pôle négatif s’y trouvent, positionnés généralement en bordure de votre plateau. Une fois identifié, il vous suffira de placer les deux branches de votre résistance créés auparavant. Ces deux branches sont généralement maintenues pour créer le contact avec des visses, n’hésitez pas à bien visser pour que la résistance soit bien maintenue.
Il faut un petit peu la travailler pour qu’elle est une chauffe homogène. Lorsque vous allumez la boxe, votre résistance doit chauffer du milieu vers l’extérieur, c’est le signe que la chauffe est bien homogène. Si ce n’est pas le cas, c’est que surement les spires de votre résistance ne sont pas suffisamment serrés, dans ce cas rien de grave. Munissez-vous d’une pince à épiler, mais de préférence une pince en céramique, chauffez alors la résistance, une fois que la résistance chauffée placer dans une pince à épiler et resserrez-la, vous pouvez le faire de façon répétitive jusqu’à ce que la chaleur soit homogène. N’hésitez pas également avec votre builder de replacer correctement votre résistance, analysez où le liquide absorbera le liquide, généralement des bordures ou des trous, c’est entre ces deux trous positionnés parallèlement du plateau, que votre résistance doit se positionner.
Prenez votre pince coupante, cette étape semble simple, mais il ne faut pas la négliger, une erreur peut vous amenez à tout recommencer. Qu’est-ce qu’il faut ici découper ? Visuellement vous voyez que votre résistance dépasse de par et d’autres des deux pôles, il faut alors couper à ras des pôles, les deux branches du câble résistif qui dépasse, surtout coupez suffisamment, sinon en plaçant la chambre d’atomisation, vous risquez de créer un faux contact.
maintenant il faut placer la pièce maîtresse d’une résistance reconstructible, j’ai nommé le coton. Découpez une bandelette de coton, créer une petit « houpette » pour pouvoir la placer facilement dans la résistance, pour découper de sorte que le coton plonge dans les canules de liquide positionnés latéralement. Il faut que le coton soit bien maintenue par la résistance et d’une densité homogène sur toute la longueur. Visualisez bien l’ensemble du dispositif, il faut qu’il y ait suffisamment de coton, mais pas trop non plus. Surtout pendant cette étape de mise en place du coton, pensez à bien couper votre boxe, le coton peut accidentellement brulé si par mégarde vous pressez le bouton de votre boxe. Une fois que le coton est placé et découpé à la bonne longueurs, que les extrémités sont placées dans les canules, imbibez généreusement votre coton de liquide, et refermez la chambre d’atomisation.
vérifiez qu’il n’y ait pas de faux contact avec les branches du fil resistif mal coupées, ou bien la résistance placée trop haut, dans les deux cas, cela veut dire qu’il y a un contact avec la chambre d’atomisation. Il est toujours conseillé à chaque étape du processus, d’essayer de mettre la chambre d’atomisation, pour vérifier que rien ne fasse obstacle. Au début il est possible de ressentir une sorte de goût parasite, n’ayez crainte ce goût partira assez rapidement, c’est le temps que le coton travaille un peu.
Si vous trouvez tout ce processus fastidieux, n’hésitez pas à vous tourner vers des résistances réalisées par des artisans généralement passionnés. Ces dernières offrent généralement des palettes de saveurs assez incroyables et ont une durée de vie assez longues. À changer en moyenne tous les trois mois.